Biennale ORGANO # 7 " Body-building, des corps urbains" | Les Vivres de l'Art
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BIENNALE ORGANO

Biennale ORGANO # 7  » Body-building, des corps urbains »

03 juin 2023 - 11 juin 2023

exposition

HORAIRES

18H - 18H

Les vivres de l'art

Biennale ORGANO # 7  » Body-building, des corps urbains »

03 juin 2023 - 11 juin 2023

18H - 18H

BIENNALE ORGANO

INAUGURATION BIENNALE ORGANO - 3 juin 2023 -
🤩 18H Ouverture
🤩 19H Happening musical totalement fantasque du Saki Noir / electro sax
🤩 20H30 Performance de danse urbaine de la compagnie bordelaise Rêvolution
🤩 22H Projection monumentale de l’œuvre vidéo de Thibault Messac transformant Bordeaux en une ville organique fascinante
>>>>>RESTAURATION SUR PLACE <<<<<
ORGANO MANIFESTATION ARTISTIQUE autour du corps et des arts visuels présente une 7ème édition urbaine et organique sur le thème « Body-building, des corps urbains ».
La biennale se tiendra du 3 au 11 juin 2023 aux Vivres de l’Art à Bordeaux. Cet événement, organisé par l’association Totoche Prod, pose un regard singulier sur le corps et les arts visuels à travers des réflexions plastiques et esthétiques engagées et novatrices.
Dans une volonté toujours affirmée de créer des univers déjantés, hors normes et inattendus, Nathalie Canals, Directrice artistique de la biennale, a conçu cette édition en proposant un thème qui joue sur l’analogie entre notre anatomie et celle des villes : le ventre de Bordeaux, les grandes artères de New-Dehli, le poumon vert de New-York… Les artistes sont donc invités à proposer des œuvres qui entremêlent l’organique et l’urbanisme, des œuvres qui font «corps avec l’architecture».
Une vingtaine d’artistes, émergents comme confirmés, sont au RDV et nous exposent leurs « corps urbains » avec talent, pertinence et inventivité. A l’honneur : les incroyables photographies de l’artiste alsacien Pierre Kauffmann, qui crée des structures/costumes à partir de constructions partout dans le monde, les met en scène in situ et invite alors l’architecture et le corps humain à un dialogue plastique qui sublime le patrimoine.
Mais aussi : des œuvres numériques surprenantes comme celle de Laurent Crevon qui génère aléatoirement des paysages urbains psychédéliques et les très poétiques « Gif brodés » d’Harmonie Aupetit ; des sculptures avec le luminaire du futur de Delphine Autef, la ville Totem d’Andréa Ho Posani, l’intrigant bâtisseur de Patricia Molins ou encore la construction anatomique maillée et génétique d’Ema Eygreteau. La photographie est aussi à l’honneur avec la chronologie d’une vie de banlieue sous forme de séquences documentaires de David Dudoret. Il y a aussi des installations, sombre et inquiétante pour Christophe Chélabi, engagée et féministe pour Elissar Kanso, idéale et universelle pour Sophie Sourillan. Et puis de belles surprises allant des peintures vertigineuses de Viviane Perez Lorenzo aux collages de rue des dessins au graphite de Maxime Lemoyne et aux gravures ethnologiques de Carmen Herrera Nolorve, sans oublier les photomontages hybrides d’Aurélie Martinez et de Juliette Pélinard.
Cette semaine urbaine et organique est rythmée par des visites commentées, des visites adaptées aux personnes en situation de handicap, une journée d’études universitaires et des ateliers pour enfants.